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- Écrit par : Catherine Privé, M.A.P., CRHA, présidente et chef de la direction
À l’ère de la mise en réseau, des communautés virtuelles et collaboratives il est impératif de savoir tirer profit de cette nouvelle réalité de travail, tant du point de vue du développement professionnel que de l’établissement de relations constructives.
Le travail en mode réseau n’est plus seulement un atout, mais bien un incontournable pour rester à jour et œuvrer dans le monde connecté d’aujourd’hui. En effet, que ce soit à cause du rythme, de la boulimie informationnelle et du profil des personnes, le mode réseau a la cote. Pour la prise de décision, l’échange d’information, la socialisation ou la création d’une communauté de gestionnaires, le fonctionnement en réseau permet d’atteindre plus rapidement les objectifs souhaités. Cela est d’autant plus vrai que ce mode collaboratif est un vecteur de vitesse mettant en commun de manière particulièrement rapide les connaissances et les trucs du métier.
Nous connaissons la popularité des outils de collaboration et de partage, tant dans le domaine de la vie privée que dans celui des organisations. Le travail en mode réseau accélère l’accès à l’information, le partage et l’apprentissage. À cet égard, c’est un avantage d’être bien « réseauté ». L’adage qui dit que ce n’est pas ce que vous connaissez, mais bien qui vous connaissez prend de plus en plus de sens. Force est de constater que dorénavant, les deux dimensions sont aussi importantes! En effet, peu importe le champ d’expertise, la somme d’informations et de connaissances est maintenant telle que personne ne peut prétendre tout maîtriser. Le travail en mode réseau permet donc d’avoir accès aux connaissances et aux différents points de vue au moment où ils sont requis.
Bien que le travail en réseau diffère du réseautage lié au développement des affaires et à la gestion de la carrière, celui-ci demande aussi du temps et certains réflexes. La mise à jour et l’entretien de ses contacts, l’émulation et le partage doivent être faits rigoureusement. De plus, certaines règles d’usage assurent le maintien d’un haut niveau de professionnalisme. Quelques exemples de règles pourraient être le respect de la confidentialité des informations partagées, la courtoisie – même à l’écrit – et le dosage des envois ainsi que des demandes. Alors que le réseautage est teinté par l’intérêt personnel, le travail en réseau repose davantage sur une volonté de partage sans calcul. En fait, dans cette perspective altruiste, plus on donne, plus on risque de récolter et bénéficier du réseau ainsi créé, le retour pouvant venir aussi bien de personnes à qui nous n’avons jamais partagé.
Pour travailler efficacement en réseau, il importe d’être connecté aux bonnes personnes, que ce soit au niveau du développement des affaires, des tendances de l’industrie, du contenu, de l’information liée à la raison d’être de l’organisation, des décideurs, etc. Ainsi, un des pièges du travail en réseau est la dispersion de l’information ou la perte de focus par rapport à l’objectif visé. Pour éviter ce piège, le modèle de Harold Jarche présente que pour être efficace dans ce nouvel environnement, il faut organiser les efforts de réseautage désiré, trouver le sens ou la raison pour laquelle nous voulons entretenir toutes ces relations et partager différents liens.
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- Écrit par : Catherine Privé, M.A.P., CRHA, présidente et chef de la direction
Le leader prend-il assez le temps de gérer son énergie? C’est une question fondamentale à laquelle les leaders doivent réfléchir. Souvent source d’énergie et de motivation pour son équipe, le leader doit toujours être à son meilleur. Mais pour être un catalyseur, il doit se donner les moyens de se ressourcer, et ainsi maintenir sa « bombonne d’énergie » bien pleine.
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- Écrit par : Catherine Privé, M.A.P., CRHA, présidente et chef de la direction
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- Écrit par : Catherine Privé, M.A.P., CRHA, présidente et chef de la direction